Les
carrés volants
Prenons des carrés
formés de lignes d'épaisseurs différentes.
Disposons-les sur un fond tramé.
Les lignes plus ou moins épaisses suggèrent des
contours plus ou moins marqués.
Alors nous aurons l'impression que les carrés (dont
les contours n'existent pas) volent dans un espace à 3 dimensions.
En les déplaçant, nous aurons l'impression qu'ils
se rapprochent ou s'éloignent.
CLIQUER
Déplacez
les carrés
rayés et évoluez en dimension 3 ...
La
tête du bagnard
Un
bagnard (le cercle) est enfermé derrière la fenêtre
à barreaux numéro 4 ci-dessous. Déplacez-le
derrière les autres fenêtres pour le libérer.
Vous constaterez que l'impression est différente selon l'épaisseur
des barreaux.
Déplacez
le rond d'une
fenêtre à l'autre et faites le passer devant les barreaux
!
CLIQUER
C'est la seule fenêtre
2 qui libèrera le prisonnier.
Dans
ce cas le cercle a l'air d'être devant sur les barreaux.
Dans les
figures 1 et 4, il apparaît derrière les barreaux.
C'est dans la figure 3 que l'on voit mieux le cercle, les raies
verticales le déforment légèrement dans les autres
figures...
Notons par ailleurs
que les quatre fonds sont de mêmes dimensions.
Pourtant le carré numéro 4 semble plus large
et le numéro 2 paraît plus haut.
Le
coeur dans la boîte
Un hexagone dans
lequel on a tracé six segments et chacun peut y voir un cube.
Selon l'angle de vision, la face avant peut basculer en arrière
et inversement. Ceci se passe involontairement et de façon
aléatoire.
Ce cube qui ne tient pas compte de la perspective fut dessiné
en 1832 par le professeur minéralogiste Necker.
Il fut l'un des premiers à reconnaître que l'interprétation
des images impliquait l'oeil et le cerveau.
Nous retrouvons ici l'ambiguïté optique relative
à la profondeur.
Selon l'angle
selon lequel on regarde l'ensemble, le coeur change de position dans
la figure ci-dessous.
De plus vous pouvez déplacer le coeur avec la
souris pour le remettre dans la position désirée ;-)
CLIQUER
Devant
la boîte
?
Derrière
la boîte
?
A
l'intérieur
?
A votre
bon coeur ! ! !
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